8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 19:23

Il est de plus en  plus évident que la société est sans avenir :

Précarité, chômage, pauvreté, misère, autant de mots qu'on entend sans cesse dans les pays soi-disant les plus développés!

Jamais autant de personnes, en France, en Europe, et dans le monde entier ne se sont trouvées dans des situations aussi difficiles!

Chaque parti politique, dans chaque pays, essaie de proposer une solution.

Retraite à 60 ans; 35 heures hebdomadaires; deux mesures qui auraient dû libérer des emplois et contribuer à l'embauche, et qui se sont révélées inefficaces.

La retraite à 60 ans ne peut plus être assurée à cause d'un nombre d'actifs insuffisant par retraité.

Les 35 heures sont pénalisantes, car 8 employés à 35 heures coûtent plus cher que 7 employés à 40 heures.

"Travailler plus pour gagner plus"; retraite à 67 ans; c'est la nouvelle solution qu'on propose!

"Travailler plus"; mais qui peut travailler plus?

Pour faire des heures supplémentaires, encore faudrait-il qu'il y ait du travail!

Peut-on dire "travaillez plus" à des employés qui se retrouvent périodiquement en chômage technique ?

Peut-on dire "travaillez plus" aux pêcheurs et aux agriculteurs soumis à des quotas?

Si chacun doit faire plus de 40 heures hebdomadaires pour avoir un salaire récent, et travailler au moins jusqu'à 67 ans pour espérer, sans garantie, une retraite décente, combien de temps les jeunes devront-ils attendre que des places se libèrent pour enfin avoir un emploi?

Ces mesures ne résolvent rien dans les pays développés; elles sont insultantes pour bon nombre de personnes qui, déjà travaillent plus que les autres, pour un salaire de misère.

Ces mesures n'ont pas de sens dans des pays en plein développement économique où les travailleurs sont sur exploités.

Peut-on dire "travaillez plus" aux petites ouvrières chinoises qui fabriquent à longueur de journée nos produits de consommation courante, pour un salaire de misère?

Ces mesures sont tout simplement absurdes et inapplicables aux pays pauvres.

Peut-on dire "travaillez plus" aux malheureux indiens qui démantèlent les bateaux en fin de vie, ces esclaves des temps modernes qui s'épuisent à gagner, dans des conditions atroces, juste de quoi ne pas mourir de faim?

Peut-on dire "travaillez plus" au malheureux népalais qui ne trouvent déjà pas le moindre petit boulot, et qui sont réduits à vendre leurs enfants pour survivre?

Partout, le mécontentement grandit; bientôt, la révolte gronde.

Si la révolution n'a pas encore éclaté, c'est parce que personne n'a de solution de rechange viable à proposer.

Les révolutions qui ont porté le communisme au pouvoir ont éclaté car une doctrine, une idéologie, qui promettait la liberté et le bonheur à l'humanité entière, a séduit et soulevé des peuples opprimées et affamés.

Mais attention!

Actuellement, faute d'alternative, faute d'espoir, pourrait éclater la révolution du désespoir!

Les révolutions communistes n'ont apporté ni bonheur, ni liberté; la révolution du désespoir n'apportera que ruine et chaos.

Il faut se rendre à l'évidence: la société judéo-chrétienne actuelle n'a plus d'avenir!

Elle court droit à sa perte dans un avenir très très proche!!!

Chaque civilisation, chaque société connaît son âge d'or, puis, peu à peu elle régresse, sombre dans la décadence, puis disparaît.

L'Histoire en montre de nombreux exemples, point n'est besoin de les rappeler.

Ce processus immuable et de naissance et de disparition de civilisations n'était pas extrêmement gênant tant que les diverses civilisations du monde vivaient plus ou moins séparément et indépendamment les unes des autres, les unes naissantes, les autres à leur apogée, d'autres encore finissantes.

Mais à l'heure actuelle, où les moyens de communication performants annihilent les distances; où les industries et le commerce d'un pays dépendent de dizaines d'autres pays parfois situés à l'autre bout du monde, il n’existe plus qu’une société, une civilisation mondiale, unique, partout au même point de son évolution.

Il serait faux d'imaginer que les pays "en voie de développement" vont vers leur âge d'or, tandis que nous allons vers notre décadence; il serait vain d'espérer une inversion des richesses au profit d'un sud pauvre.

Les pays pauvres ou "en voie de développement" dépendent trop étroitement des pays "riches" pour pouvoir se développer indépendamment, et la décadence des pays "riches" ne pourra qu'entraîner le reste du monde dans une misère sans précédent!

Le monde court-il à sa perte?

Oui.

Y a-t-il une solution?

Oui:

Changer de société!

Il est urgent de faire table rase du passé, et d'instaurer au niveau mondial, une société meilleure, plus équitable, basée sur de nouvelles valeurs.

 

 

L’Ordre Souverain de l’Égalité Universelle préconise l’instauration d’une société nouvelle, basée sur de nouvelles valeurs, et en particulier sur l’Égalité Universelle.

 

 

Une société nouvelle

 

D'où vient l’échec de la société actuelle?

Deux causes majeures sont responsables de cet échec.

D'abord le fondement judéo-chrétien de la société actuelle qui fait qu'elle est basée sur l'obligation du travail:

"A la sueur de ton front, tu mangeras du pain" dit Dieu à l'homme en le chassant du paradis terrestre

Obligation fort curieuse, qui n'a jamais semblé s'appliquer à tout le monde, et fut toujours adaptée d'une manière si curieuse que de tout temps ce furent ceux qui travaillèrent le plus qui mangèrent le moins!

En fait, la signification réelle est qu'en quittant son statut "animal" pour celui de chasseur cueilleur, puis accédant au statut d'agriculteur éleveur, puis d'artisan, l'homme ne peut plus se contenter de prélever sa nourriture dans la nature au fur et à mesure de ses besoins, et dépendre de ses caprices, mais il doit assurer aussi bien à lui même qu'à sa famille, par son travail, une subsistance aussi régulière que possible, amasser des réserves, ainsi qu'un excédent qu'il peut échanger contre des biens qu'il ne sait pas produire lui même.

La Bible ne fait que constater le passage d'un état à un autre; le passage de la vie au jour le jour, sans véritable notion du futur qui est celle de l'animal, à la vie planifiée qui est celle de l'homme. La Bible ne prescrit pas d'ériger cette constatation en loi de vie. D'ailleurs Église et noblesse s'étaient affranchies de cette "obligation".

Alors pourquoi cette "obligation" régit-elle encore une société incapable d'offrir la possibilité de travailler à chaque homme?

La deuxième cause est le système monétaire actuel.

Il est inutile de revenir sur l'histoire de la monnaie, mais il convient seulement de rappeler qu'après avoir été alignées entièrement, puis partiellement sur la valeur de métaux tels l'or et l'argent, depuis les accords de la Jamaïque, de 1976, constatant que les réserves d'or ne sont pas indéfiniment extensibles, mais qu'il fallait, en raison du développement économique, accroître le nombre d'unités de base, la valeur des monnaies est déterminée par les DTS, ou "or papier".

Les DTS sont alloués aux pays selon leur quote-part au FMI.

Il en résulte que la masse monétaire de chaque pays, proportionnelle à ses excédents commerciaux, est insuffisante et inextensible par rapport aux besoins, surtout pour les pays pauvres.

Pour sortir de la situation actuelle sans issue, la première chose à faire, et il est aisé de concevoir qu'il s'agit d'une véritable révolution, non seulement monétaire, économique, et politique, mais aussi dans les mentalités, est de réformer complètement le statut de la monnaie.

Baser la valeur d'une monnaie sur un métal dit "précieux" est une absurdité!

La baser sur une économie qui peut s'effondrer d'un moment à l'autre est également une absurdité!

Limiter la taille de la masse monétaire est une troisième absurdité!

La valeur de l'or, ou de tout autre métal "précieux" est d'abord une valeur fictive.

Si on mettait sur le marché toutes les réserves d'or de chaque pays, sa valeur chuterait considérablement. On peut aussi constater que certains produits, en particulier chimiques, ont une valeur supérieure à celle de l'or. Certes, l'or est inaltérable, il est beau, mais il peut aussi être inutile!

Même en étant en possession d'une tonne d'or, peut-on soigner une personne si on n'a pas d'hôpital ni de médicaments?

Peut-on traverser un fleuve avec des lingots d'or, si on n'a pas de pont?

Peut-on remplacer une oeuvre d'art unique, avec de l'or?

Peut-on ressusciter un mort avec de l'or?

Que ce soit de l'or métal ou de "l'or papier", il s'agit d'une valeur artificielle, et toute relative.

De même, la valeur d'une monnaie n'est que celle qu'on lui donne; elle est artificielle, et n'est garantie par rien de bien valeureux.

Il est donc temps de révolutionner la monnaie, de la rendre plus abondante, tout en la garantissant sur des choses autrement plus valeureuses.

Comment?

D'abord en créant une monnaie mondiale unique, dont l'unité serait l'UMM (Unité

Monétaire Mondiale), mais qui pourrait, dans chaque pays, conserver le nom de la monnaie locale.

Tout taux de change serait aboli, chaque unité monétaire locale étant égale à 1 UMM.

Supposons que 1 UMM serait sensiblement égale à 1 €.

La nouvelle masse monétaire ne serait plus aussi limitée que maintenant, mais elle serait extensible selon les besoins, car garantie sur de véritables valeurs.

Quelles seraient ces valeurs?

D'abord, la monnaie serait garantie sur les équipements qu'elle contribuerait à produire.

Actuellement, si on veut construire un hôpital, il faut trouver les fonds nécessaires; dans les pays développés, on les trouve grâce à l'impôt et aux emprunts; dans les pays pauvres, on doit compter sur la générosité extérieure, et l'aide des organisations humanitaires et des associations caritatives.

Dans la nouvelle société, on générerait la masse monétaire nécessaire à la construction de l'hôpital, elle serait donc garantie sur un bien ayant une valeur réelle et non une valeur fictive.

Il serait de même pour tous les équipements nécessaires à chaque pays.

Actuellement, on est parfois obligé de laisser des trésors architecturaux ou autres se dégrader faute de crédits nécessaires pour les entretenir ou les rénover, et on doit recourir au sponsoring de sociétés privées, quand on peut...

Dans la société nouvelle, on générerait la masse monétaire nécessaire à l'entretient, la rénovation, et même la reconstruction de chef d'oeuvres malencontreusement détruits, ou détruits faute d'entretien.

Les oeuvres d'art, quelles qu'elles soient, ont bien plus de valeur qu'un tas d'or, et encore plus que de "l'or papier"!

Mais ce n'est pas tout; la monnaie serait garantie sur une autre valeur plus précieuse:

La vie.

Ne dit-on pas que la vie est le bien le plus précieux? Qu'elle n'a pas de prix?

D'ailleurs tout l'or du monde ne peut rien pour ramener quelqu'un à la vie.

Donc, dans la nouvelle société, chaque vie serait considérée comme un trésor sur lequel la monnaie pourrait être garantie.

En conséquence, chaque être humain, sur la totalité de la terre, se verrait allouer mensuellement, la somme de 1500 UMM, à vie.

Le résultat immédiat de cette mesure, serait la complète disparition de la misère.

Certains vont répliquer que c'est une utopie, que ce n'est pas faisable, que ce serait encourager l'oisiveté, que le niveau de vie n'est pas égal dans chaque pays, et que 1500 UMM serait trop ici, pas assez ailleurs, et ainsi de suite.

On peut récuser tous ces arguments, et dire d'avance à tous ceux qui voudraient oser les opposer que leurs arguments sont minables, comme eux-mêmes et leur politique, et le peu d'efforts qu’ils font pour résoudre les problèmes du monde!!!

Sur la question du niveau de vie:

Il est vrai que 1500 € est actuellement un salaire confortable, permettant même d'avoir des employés de maison, dans certains pays, alors que c'est tout juste suffisant pour vivre dans d'autres.

Mais avec l'avènement d'une monnaie unique, on procéderait à un ajustement général du niveau de vie, ce qui fait que 1500 UMM permettraient de vivre partout à très peu de chose près de la même façon.

Partout, à travail égal, le salaire serait égal.

Partout, à peu de chose près, les denrées alimentaires seraient au même prix.

Partout, à peu de choses près, les biens de consommation seraient au même prix.

Les conséquences seraient extraordinairement bénéfiques sur de nombreux points:

-Il ne serait plus nécessaire de réglementer les flux migratoires, puisque chacun pouvant vivre décemment dans son pays ne chercherait plus à émigrer vers un pays où il pense qu'il vivrait mieux. Les frontières ne seraient plus que la délimitation de chaque pays, mais elle serait librement franchissables, avec pour conséquence la disparition de l'odieux et juteux trafic des visas, refusés injustement à ceux qui en ont besoin, mais illégalement vendus à vil prix à ceux qui justement devraient se les voir refuser. Ce serait également la fin des passeurs clandestins, avec leur cortège de crimes, et de tous les trafics d'être humains.

-Les salaires étant, à travail égal, identiques partout, il ne serait plus nécessaire de délocaliser pour rester rentable, et contrairement à ce qu'on pourrait penser, les marchandises manufacturées ne seraient pas plus cher, puisqu'il n'y aurait plus ni taxes, ni charges, ni impôts, mais aussi moins de transport, ce qui serait également bénéfique pour l'environnement. Bien entendu, il y aurait toujours des échanges commerciaux internationaux, mais la différence ne se ferait plus sur le prix, mais sur la qualité; chacun aurait à coeur de produire pour un même prix le meilleur article.

-Concernant les produits agricoles, il n'y aurait plus besoin de quota pour maintenir les cours, ni besoin de détruire des excédents alors que des personnes meurent de faim. Les cours étant sensiblement égaux partout, les agriculteurs européens pourraient exporter leurs excédents ne trouvant pas preneur sur le marché local, et permettre ainsi aux personnes habitant des pays dont l'agriculture est insuffisante pour couvrir les besoins, de se nourrir normalement. La famine deviendrait inexistante.

Concernant l'accès aux médicaments et aux soins, il serait entièrement gratuit, pour tous, dans le monde entier, chaque état étant libre de générer la masse monétaire nécessaire à couvrir l'achat de médicaments et le coût des soins.

Sur la question de l'incitation à l'oisiveté:

D'abord, 1500 UMM ne seraient pas un encouragement à l'oisiveté, car ceux qui gagnent actuellement 1500 € savent très bien qu'on peut vivre avec cette somme, mais on ne peut pas s'acheter tout ce dont on a envie; on peut juste avoir l'indispensable, et ceux qui seront les premiers à avancer cet argument sont ceux qui seraient bien incapables de se contenter de cette somme.

Sauf à se contenter de l'indispensable, pour avoir plus, chacun devrait donc travailler. Mais pas forcément travailler à temps plein et toute sa vie.

Chacun serait libre de travailler selon ses besoins, ou ses envies. De ce fait, le travail serait mieux partagé, et chacun qui le souhaiterait y aurait accès.

L'avantage de ce système, où les salaires seraient, net, exempts de toutes charges, c'est que pour un nombre d'heures données, peu importe le nombre de personnes employées, la masse salariale serait identique. Ceci, pour le secteur privé, où la masse salariale serait prélevée sur le chiffre d'affaires.

Pour le secteur public, ce serait différent:

Les sommes correspondant aux salaires des personnes assurant un service public seraient générées par l'état, ce qui éviterait d'avoir recours à l'impôt d'une part, et ce qui permettrait de disposer du nombre d'heures de travail adéquat aux besoins, sachant que peu importerait le nombre de personnes assurant ce nombre d'heures de travail.

Toujours dans l'exemple d'un hôpital, on pourrait ainsi disposer d'un personnel suffisant, faisant un nombre d'heures raisonnable par rapport à la fatigue occasionnée par leur travail, donc jamais épuisées, et toujours au meilleur de leur forme pour la sécurité et le confort des malades.

Pompiers et police disposeraient toujours d'un nombre suffisant d'hommes pour pouvoir assurer toutes les missions en toute sécurité.

"Travailler plus pour gagner plus" serait alors une chose possible.

Loin d'encourager l'oisiveté, ce système encouragerait chacun à faire un travail qui lui plairait, et donc ce qui serait le gage d'un travail bien fait.

Ce système aurait bien d'autres avantages :

-Disparition du travail au noir, puisque chacun serait libre de travailler sans payer ni taxes, ni charges, ni impôts.

-Disparition du travail clandestin, l'emploi de personnes sous payées ne serait plus possible, puisque les salaires seraient sensiblement les mêmes partout dans le monde, et que plus personne ne serait en situation irrégulière, l'immigration étant libre.

-Disparition du trafic des êtres humains, et en particulier de la prostitution de jeunes femmes à qui on a fait croire qu'on allait leur offrir un travail honorable, et qui se retrouvent piégées. Il va de soit que si plus personne n'est dans la misère, chaque personne qui désirera travailler fera très attention au choix du travail qui lui sera proposé, et ne sera plus tentée d'accepter un travail loin de son pays, dans des conditions mal définies.

-Disparition de la "vente" d'enfants, que se soit pour adoption, pour exploitation par le travail, ou pour exploitation sexuelle. Chacun pourra élever ses enfants décemment, et chaque enfant aura accès gratuitement aux études, y compris aux études universitaires.

-Relance de l'activité économique et industrielle: chaque personne ayant de quoi vivre normalement, indépendamment de sa situation professionnelle, sera amener déjà à acheter les choses indispensables dont elle a besoin; de ce fait, si on considère le nombre de personnes actuellement dans la misère, et qui se mettront à acheter, l'industrie et les services devant s'adapter à une demande croissante seront en pleine expansion, ce qui créera des emplois, donc des opportunités de travailler, de gagner plus, et d'acheter plus.

Un tel changement de société n'est pas une utopie:

C'est une nécessité!!!

Sachant qu'actuellement, de par le monde, un milliard de personnes vivent dans la misère, et ne mangent pas à leur faim; que plus encore n'ont pas accès aux soins médicaux, peut-on rester les bras croiser, et attendre?

Attendre quoi???

Attendre que tous les malheureux meurent? Ce qui réglerait le problème de la surpopulation?

Attendre que ceux qui sont en train de glisser vers la pauvreté se révoltent et pensent trouver la solution à leurs problèmes dans la violence et le sang?

Il n'est plus temps d'attendre!

Il faut agir!

Agir non pas au niveau national, car aucune mesure ne peut être efficace localement.

Il faut agir au niveau mondial, et de toute urgence!

Comment?

La solution la plus simple serait de réunir un sommet mondial des chefs d'état et de gouvernement pour décider de la mise en place de ce système de société, et de convenir des étapes et des échéances, tout en sachant d'une part qu'il s'agit d'une urgence absolue, et d'autre part que le système est très facile et rapide à mettre en place.

Il ne faudrait pas plus de 3 à 6 mois, dans le cas le plus pessimiste, pour une mise en place le système.

Dans certains pays, où les populations sont habituées à disposer de billets de banque comportant un nombre impressionnant de zéros, il faudra un temps d'adaptation des mentalités.

Le plus long à mettre en place le système de santé dans les pays qui en sont démunis, non pas par manque de moyens, puisque l'argent ne serait plus un problème, mais par manque de personnel qualifié.

Si, comme on peut le craindre, personne au niveau gouvernemental ne souhaite l'instauration de cette société, ce sera aux citoyens d'en demander l'instauration, par tous les moyens non violents possibles.

 

 

Société nouvelle et politique

 

La volonté d'instaurer une société nouvelle telle définie précédemment doit elle s'accompagner d'un bouleversement de la vie politique et des institutions?

Non!

La majorité des partis politiques devraient adhérer à cette idée de société nouvelle, et cela ne nécessite pas la création d'un nouveau parti, pas plus que ça ne devrait faire l'objet d'une polémique entre partis, dans la mesure où il n'y a aucune autre solution viable pour sortir d'une crise mondiale de plus en plus grave. La crise qu’abordent les pays développés n'est pas si récente qu’on aurait tendance à le penser; il y a en effet déjà des décennies que la misère et la pauvreté touchent les pays qualifiés de sous développés, ou en voie de développement, ce dernier terme étant jugé plus "politiquement correct" car il laisse penser que la situation s'y améliore, mais il faut ouvrir les yeux! La situation s'y améliore pour une élite économique, mais non pour l'ensemble de la population.

Quant à l'influence sur les institutions et sur le gouvernement des pays, elle ne peut être que bénéfique:

En effet, ce serait un immense soulagement pour chaque gouvernement que de ne plus avoir à se demander comment combler tel ou tel déficit, où trouver des crédits pour tel aménagement ou telle action.

La fonction de ministre des finances deviendrait presque une sinécure.

La vie politique gagnerait en sérénité, et se concentrerait sur des problèmes importants, préservation et protection de l'environnement, aménagement du territoire, prévention des risques sanitaires, qualité de l'éducation, recherche, sécurité, sans être entravée par les problèmes économiques et financiers. Autant de sujets sur lesquels il est permis d'avoir des opinions différentes, mais qui pourraient être discutés avec beaucoup plus de sérénité!

La société nouvelle ne nécessite pas de révolution ni de bouleversement politique majeur, du moins dans les pays démocratiques.

Par contre, concernant les pays non démocratiques, il leur serait impossible d'y accéder tant qu'ils ne respecteraient pas les règles de liberté élémentaires qui doivent s'appliquer dans tout pays. Ce serait pour eux une pression supplémentaire, et l'attrait d'accéder à une société sans problèmes économique ferait sans doute tomber bien des régimes autoritaires.

L'instauration d'une société nouvelle ne peut qu'apporter liberté, sérénité et bien être sur toute la terre !

 

 

Société nouvelle et associations

 

La société nouvelle, résolvant les problèmes économiques, qu'adviendrait-il des diverses associations humanitaires?

Certaines associations seraient probablement amenées à disparaître, ou sinon à recentrer exclusivement leur action vers les personnes qui, pour des raisons psychologiques ou personnelles s'excluent de la société.

Mais tant qu'une association aurait une utilité, et à condition qu'elle soit reconnue d'utilité publique, la nouvelle société ne pourrait que l'aider à jouer pleinement son rôle.

En effet, concernant les associations reconnues d'utilité publique, elles continueraient de bénéficier de la générosité des donateurs, mais les états seraient tenus de leur générer des UMM pour un montant égal aux dons reçus le mois précédent, ce qui fait qu'elles verraient pratiquement leur moyens doublés.

Momentanément, certaines associations, en particulier celles amenant une aide médicale, verraient leur action renforcée en l'attente de l'établissement d'un système de santé normal dans les pays qui en sont actuellement dépourvu, et ce, le temps nécessaire à la construction des infrastructures et à la formation des personnels médicaux locaux. Elles auraient toujours un rôle de prévention sanitaire à jouer.

Dans les pays développés, outre l'aide aux personnes en rupture de société, les associations auraient toujours un rôle à jouer dans la prévention.

Prévention de la délinquance, prévention des risques sanitaires, en particulier concernant le Sida.

Elles auraient aussi toujours un rôle dans le soutient et l'accompagnement des personnes et des familles confrontées à des problèmes de handicaps ou de maladies, ayant besoin d'une aide autre que médicale.

Un autre champ d'action s'ouvrirait aux associations:

Dans les pays en voie de développement, les associations auraient pour mission d'accompagner les personnes pauvres dans leur sortie de la pauvreté.

En effet, passer de la misère et de la mendicité à une certaine aisance matérielle pourrait demander à certaines personnes une période d'accoutumance pendant laquelle les associations non seulement leur feraient connaître leurs droits, mais les aideraient à s'établir dans la société, et les accompagneraient dans toutes les démarches y afférant.

La nouvelle société donne un nouveau rôle aux associations et leur donne plus de moyens.

 

 

Société nouvelle et revenu minimum

 

Comme il a été dit dans la présentation de la société nouvelle, il est prévu pour chaque personne un revenu minimum lui permettant de vivre dignement, le travail étant un "plus" permettant de s'offrir plus de confort et de loisirs.

Quelles seraient les modalités pratiques de ce revenu minimum mensuel?

Ce serait très simple:

Dès sa naissance, chaque être humain se verrait attribuer un revenu minimum mensuel, cumulable avec un revenu issu du travail.

Ce revenu minimum serait de 750 UMM de la naissance jusqu'à la majorité, sauf pour les orphelins, et enfants abandonnés pour lesquels il serait de 1500 UMM dont 750

UMM gérés par la personne ou l'institution qui s'occuperait d'eux, et 750 UMM mensuelles, qui seraient débloquées à leur majorité pour les aider à s'établir et s'intégrer socialement.

Toutefois, pour les enfants ayant leurs parents, dans le cadre de la lutte contre la surpopulation, dès le troisième enfant, seulement 500 UMM seraient versées chaque mois, et 250 à partir du quatrième, l'excédent étant bloqué jusqu'à leur majorité.

Cette mesure éviterait que des familles aient des enfants dans le but unique d'avoir des revenus supplémentaires, et ferait prendre conscience aux familles que la surpopulation est un danger pour la terre.

Afin d'éviter toute exploitation, le travail des mineurs serait interdit, sauf s'il entre dans le cadre d'une formation professionnelle, et à condition qu'il soit payé.

A partir de la majorité, chaque être humain se verrait allouer la somme mensuelle de

1500 UMM, jusqu'à son décès.

Dans la pratique, cela se passerait automatiquement, le compte bancaire principal de la personne étant automatiquement crédité de cette somme chaque mois.

Pour les personnes qui n'ont pas de compte bancaire, en particulier les personnes vivant en milieu rural dans les pays en voie de développement, cette somme serait distribuée en argent liquide.

Mais en règle général, et vu que la masse monétaire serait extensible, l'usage de l'argent liquide serait évité, étant remplacé le plus possible par les chèques et les paiements électroniques.

Afin d'éviter toute dérive, et surtout que les sommes devant être allouées à chaque personne ne soient pas détournées, une surveillance stricte devrait être instaurée et confiée à une institution internationale.

 

 

Société nouvelle et salaires

 

Quelle serait l'influence de la société nouvelle sur les salaires?

Comme on l'a vu, la société nouvelle se caractérise par l'Egalité Universelle, et par un revenu minimum mondial unique.

Pour les salaires, la règle serait: à travail égal, salaire égal.

Actuellement, de par le monde, pour un travail égal, les salaires sont très disparates, mais cela ne veut pas dire que si le salaire est bas on ne peut pas vivre! Tout dépend en effet du coût de la vie, et en particulier du prix des denrées et services de première nécessité. Dans certains pays, on mange bien avec un salaire qui ne permettrait pas de survivre en Europe.

Cependant, il est des choses pour lesquelles le prix est presque universel, ce sont les médicaments, ou du moins certains médicaments, et certains bien de consommation.

Or, pouvoir manger et ne pas mourir de faim est une chose; vivre et profiter un minimum de la vie en est une autre!

Toute personne où qu'elle soit, doit pouvoir, à travail égal, s'acheter les mêmes biens, et avoir accès aux mêmes services, d'où la nécessité d'instaurer le principe du salaire égal pour un travail égal.

Quelle serait l'influence de cette mesure pour les entreprises ayant délocalisé leur production pour bénéficier d'une main d'oeuvre bon marché?

Il y aurait peu de conséquences dans la mesure où dans la société nouvelle, charges, taxes et impôts seraient supprimés.

Ce que ces entreprises perdraient du fait de salaires plus élevés, elles le gagneraient sur les charges taxes et impôts; au final, donc, peu de changement.

Le changement le plus important qu'induirait la mise à niveau des salaires, dans les pays où ils sont actuellement bas ce serait une hausse des prix des denrées et de certains services, mais cette hausse n'aurait pas de répercussion négative grâce d'une part à la hausse des salaires, et d'autre part grâce au revenu minimum.

Le passage à la société nouvelle serait moins difficile et douloureux que l'intégration de la République Démocratique Allemande à la République Fédérale Allemande et à l'Europe.

 

 

Société nouvelle et retraite

 

Dans la société actuelle, deux types de retraites s'opposent, et parfois se complètent, la retraite par répartition, et la retraite par capitalisation. Ces deux modèles ont leurs avantages et leurs inconvénients.

La retraite par répartition suppose un nombre d'actifs égal au minimum à deux à trois fois le nombre de retraités pour être supportable or, en 2006, en France, on est passé à 182 cotisants pour 100 actifs. La retraite par répartition suppose un nombre d'actifs croissant et donc une population croissante. Elle est jugée plus juste que la retraite par capitalisation. La pérennité de ce système est souvent mise en cause

La retraite par capitalisation est basée sur le fait que chaque personne cotise pour elle même auprès d'un fond de pension, et qu'il reçoit une retraite proportionnelle à ce qu'il a cotisé.

Le premier inconvénient est que pour les faibles salaires, la retraite est très faible.

L'autre inconvénient est que les fonds de pensions investissent les cotisation en prenant des participations dans des sociétés, mais exigent en retour une rentabilité élevée, au mépris des conditions de travail et de l'emploi.

Parfois, les deux systèmes sont combinés, combinant à la fois les avantages... et les inconvénients!

Il faut toutefois prendre conscience d'une chose:

Alors que certains pays s’inquiètent pour leur système de retraite, de part le monde beaucoup de personnes, même ayant travaillé longtemps, n'ont pas de retraite!

Est-ce juste??

Dans la société nouvelle:

Toute personne actuellement à la retraite toucherait sa retraite, plus le minimum de

1500 UMM.

Toute personne travaillant actuellement, aurait la possibilité de prendre sa retraite à

60 ans, au prorata des trimestres travaillés et des salaires perçus, plus le minimum de 1500 UMM.

Toute personne n'ayant pas travaillé toucherait le minimum de 1500 UMM jusqu'à son décès.

Dans les pays où la retraite n'existe pas, elle serait instaurée, au prorata des trimestres travaillés, et au prorata des salaires internationaux pour les pays actuellement à bas salaires.

L'universalité de la retraite est une nécessité, et un pilier de la société nouvelle.

 

 

Société nouvelle et peuples dits « primitifs »

 

Quelle serait la place des peuples dits "primitifs" dans la société nouvelle?

Actuellement, deux attitudes existent par rapport aux peuples dits "primitifs":

Les intégrer de force.

Les "surprotéger" dans des réserves sanctuaires.

Dans les deux cas, cela revient très souvent à les condamner à disparaître petit à petit.

En les intégrant de force, sans préparation à une transition brutale, on les expose à l'alcoolisme, à la violence, à la marginalisation.

En les isolant du monde, on les condamne à la consanguinité, à l'ignorance, à une vie primitive à laquelle ils sont certes habitués, mais pleine de danger, et souvent brève.

La finalité de l'une et l'autre de ces politiques, sous couvert de bons sentiments, est généralement de les spolier de leurs territoires et de leurs droits.

Dans la société nouvelle, les peuples dits "primitifs" auraient les mêmes droits que tout le monde, à savoir, le revenu minimum, l'accès gratuit à l'éducation et aux soins médicaux, l'accès à tous les moyens de communication, mais ils auraient le droit de choisir leur mode de vie:

Soit vivre de manière moderne, et s'adapter du mieux possible, ce qui leur serait facilité par leur revenu minimum et leur accès à l'éducation.

Soit vivre de manière traditionnelle, mais en ayant un minimum de confort et de bien être.

Il serait en effet possible de leur donner accès à un habitat de type traditionnel, mais de construction moderne, plus solide et plus sûr, également plus confortable, et de leur donner accès aux moyens de communication modernes.

La vie traditionnelle ne doit pas être synonyme d'exclusion, et d'absence d'accès à l'éducation et aux soins.

La société nouvelle est une société basée sur l'égalité, mais non sur l'uniformité.

La diversité est une richesse, et la liberté de choisir sa vie est un droit fondamental!

 

 

Société nouvelle et migrations

 

Quelle serait l'influence de la société nouvelle sur les migrations?

Un des épineux problèmes de la société actuelle est posé par les flux migratoires.

Les pays dits développés veulent à tout prix endiguer ces flux qui ne sont pas les bienvenus, en adoptant une politique des visas sur laquelle il y aurait beaucoup à dire, et aussi en luttant contre les réseaux de passeurs.

Qu'est ce qui pousse des gens à quitter leur pays pour un pays plus riche?

Tout simplement la misère, la faim, ou simplement l'espérance d'une vie meilleure.

Est-il juste de vouloir limiter les flux migratoires?

Oui et non!

Oui, parce que les pays développés connaissent une crise de l'emploi, et ne sont pas le paradis qu'ils espèrent, et ils trouvent parfois un enfer pire que celui qu'ils ont quitté.

Non, parce que certains refus de visas sont injustes, parce qu'une politique trop restrictive entraîne à la fois un juteux trafic au niveau des visas, que certains employés de consulats de mèche avec des intermédiaires locaux vendent très cher; jusqu'à 6000€ pour un visa de 6 mois; et que ça entraîne aussi un développement de réseaux de passeurs liés à diverses maffias.

Non également, parce que rejeter un étranger, ça peut être condamner une famille entière à la misère.

Non, parce qu'il est injuste et discriminatoire de limiter les entrées de ressortissants de pays qui eux nous accueillent à bras ouverts; la réciprocité en matière de visas devrait être de mise.

Non également, parce que voyager est une liberté fondamentale.

Non, enfin, parce que souvent des entreprises des pays dits développés exploitent scandaleusement les richesses d'où viennent les malheureux qui sont refoulés.

Avec la nouvelle société, les choses deviendraient bien différentes:

Grâce au revenu minimum international et à l'égalité des salaires, plus personne n'aurait de raison valable de quitter son pays pour des raisons économiques, et o n peut être persuadé que les personnes qui, actuellement le font ou tentent de le faire ne le font pas de gaieté de coeur!

Le fait que les personnes, même celles qui ne travaillent pas, auraient un revenu décent, et qu'à fortiori les personnes qui travailleraient auraient un meilleur revenu, serait un puissant moteur qui relancerait le commerce et l'industrie, permettant à chacun de trouver un emploi grâce à une demande accrue en biens et en services, donc à quoi bon quitter un pays où il ferait enfin bon vivre?

Avec ce nouvel équilibre, les seules personnes qui souhaiteraient changer de pays, mis à part les réfugiés politiques ou fuyant la guerre, le feraient par goût, pour rejoindre leur famille ou quelqu'un qu'elles aiment.

Il n'y aurait donc plus de raison d'entraver la libre circulation des personnes d'un pays à l'autre, les seules restrictions concerneraient les personnes pouvant causer un trouble à l'ordre public ou se livrant à un trafic.

Donc, plus de nécessité de visa, d'où disparition des trafics de visas, et disparition des filières de passeurs clandestins.

Autre avantage, et non des moindres, chaque personne bénéficierait de son revenu minimum quelque soit son lieu de résidence; seul comptant le lieu d'enregistrement et de domiciliation du compte bancaire principal.

Les droits à l'éducation et aux soins médicaux seraient valables dans tous les pays pour chaque personne.

On serait donc sûr que chaque étranger qui entrerait dans un pays aurait un revenu suffisant et une couverture sociale.

Concernant les migrants qui vont rejoindre la personne qu'ils aiment, la société nouvelle les libèrerait de la contrainte du mariage qui, administrativement, culturellement, ou religieusement est parfois un obstacle, ou du moins un parcours compliqué.

On peut dire que la société nouvelle résoudrait presque tous les problèmes de flux migratoires.

 

 

Société nouvelle et libre entreprise

 

En quoi la société nouvelle peut-elle revaloriser le travail individuel?

Actuellement, et malgré la prétendue simplification apportée par l'entreprise individuelle, s'installer à son compte est une chose assez compliquée, mais surtout coûteuse et risquée.

Coûteuse, car très rapidement, cotisation, charges et taxes tombent sur le dos du malheureux qui a pris le risque de créer son gagne pain.

Risquée, car la rentabilité est loin d'être assurée, et la faillite guette.

Il est très loin le temps où à l'école primaire des problèmes d'arithmétique s'énonçaient ainsi:

Un épicier achète un kilo de sucre tel prix; il le revend tel prix; calculez son bénéfice.

Maintenant, on dirait plutôt:

Un épicier a tel montant de charges mensuelles; sa marge est de tant pour cent; quel chiffre d'affaires mensuel doit-il faire pour espérer gagner quelque chose?

Cependant, certains pays, pays pauvres et en voie de développement, en sont restés au premier énoncé, et il y est possible de gagner un peu d'argent malgré un maigre chiffre d'affaires.

Dans la société nouvelle, du fait de l'absence de charges, taxes et impôts, il deviendrait à nouveau possible à un commerçant de gagner effectivement de l'argent dès la vente d'un seul article.

On comprend aisément que tout commerce deviendrait bien plus vite rentable.

Les conséquences seraient d'abord que bon nombre de personnes qui seraient tentées par la tenue d'un petit commerce, mais qui hésitent de peur de se retrouver dans une situation catastrophique, pourraient tenter leur chance sans prendre de risques, et ensuite qu'il deviendrait rentable d'ouvrir des commerces de proximité dans les zones rurales peu peuplées, offrant ainsi un service de proximité.

Ce service de proximité aurait un effet bénéfique inattendu, dans la mesure où les habitants des zones rurales n'auraient plus à faire des dizaines de kilomètres pour acheter parfois peu de chose, d'où un impact positif sur la pollution.

Dans les pays en voie de développement où il est actuellement possible de s'installer sans avoir à payer de charges, l'augmentation générale du pouvoir d'achat par la revalorisation des salaires et par le revenu minimum permettrait à ces petits vendeurs de mieux gagner leur vie, car leur chiffre d'affaires serait plus important.

La société nouvelle est la société de la libre entreprise rentable, et du service de proximité.

 

 

Société nouvelle et télécommunications

 

Communiquer est une chose essentielle; sans libre communication, pas de liberté!

Malheureusement, actuellement, tout le monde n'a pas un accès égal aux moyens de communication.

Dans les pays développés, l'abonnement Internet reste abordable.

Ailleurs, il n'est pas abordable pour tout le monde, et souvent il est censuré.

Dans la société nouvelle, l'accès Internet devient accessible à tous, et il ne doit aucunement être censuré, car il doit être également un moyen de dénoncer les éventuels abus et scandales.

Concernant le téléphone, la situation est actuellement consternante et scandaleuse!

S'il est possible de téléphoner gratuitement localement et vers certains pays via les lignes Internet, certaines destinations, en particulier vers les pays en voie de développement, présente un coût prohibitif.

Pourtant, téléphoner n'est pas un luxe; c'est parfois vital, tant personnellement que professionnellement.

Où le scandale est le plus flagrant, c'est concernant certains pays africains où

Orange est également opérateur téléphonique.

Par exemple, téléphoner avec une ligne Orange de France vers un mobile Orange au

Cameroun coûte près de 1€ la minute, plus coût de mise en relation.

A partir d'une ligne SFR, ça ne coûte que 0,50€ la minute.

A partir d’une lignr Bouygues Telecom, on descend à 0,30€, et il en est de même avec des cartes prépayées.

Le tarif d'Orange est-il gage de qualité?

Non!

Mauvaise qualité du son, coupures intempestives, impossibilité temporaire de joindre le correspondant, le tout imposant de fréquents rappels, ce qui augmente le coût d'autant, car à chaque fois une mise en relation est facturée.

Plus scandaleux encore: à certaines heures, l'accès par cartes prépayées est problématique, voire impossible pour cause d'encombrement du réseau!

Dans l'autre sens, du Cameroun vers la France, le coût est moins élevé, mais est scandaleusement prohibitif au regard du niveau de vie local.

On est légitimement en droit de se demander où va l'argent de ces communications; en tout cas, il ne sert pas à améliorer le réseau et la couverture!

Le coût des communications n'est donc pas proportionnel à la distance, mais plutôt à la richesse du pays desservi, d'autant plus élevé que le pays est pauvre!

C'est une politique raciste et néo colonialiste.

Dans la société nouvelle, il en serait tout autrement!

Chaque pays pourrait se doter d'un réseau de télé communications moderne et suffisant par rapport au trafic.

Idéalement, l'abonnement téléphonique, fixe ou mobile, d'un montant environ égal à l'abonnement Internet, permettrait des appels illimités vers toutes les destinations, sans exceptions.

Concernant les communication par satellite, les seules possibles en certains endroits isolés, elles seraient accessibles via l'abonnement mobile, sans supplément, avec pour seule obligation de se procurer le terminal adéquat.

La société nouvelle garantit l'égalité totale dans l'accès aux télécommunications et face aux tarifs.

 

 

Société nouvelle et instruction

 

Le droit à l'instruction et à l'accès aux études supérieures est un droit fondamental.

Actuellement, ce droit est inexistant.

Dans les pays dits développés, l'instruction est certes obligatoire jusqu'à l'enseignement secondaire, et l'accès en est prétendument gratuit. Mais qu'en est-il dans la réalité?

A part dans le primaire, où la dépense est surtout constituée par des vêtements et quelques fournitures de base, l'enseignement, à compter du secondaire, est loin d'être gratuit! La liste des fournitures est souvent longue et onéreuse.

Si la dépense demeure acceptable pour les familles où les deux parents ont la chance de travailler, elle est souvent lourde voire insupportable pour les familles en situation précaire. Alors comment voudrait-on que les enfants de ces familles puissent étudier? Et pourtant ce sont eux qui on généralement le plus besoin d'étudier en milieu scolaire, car ils ont peut de chance d'être aidés par leurs parents, ou d'avoir accès au savoir chez eux.

Concernant les études supérieures, les inégalités sont encore plus criantes, et il serait grand temps d'ouvrir les yeux sur un énorme scandale qu'on essaie de cacher:

La prostitution étudiante.

Combien de jeunes femmes sont obligées de se prostituer pour financer leurs études et payer leur logement?

Cette pratique était inexistante au début des années 1980; elle est hélas devenue courante actuellement.

C'est tout simplement scandaleux!

Pourquoi en est-on arrivé à cette situation?

Bourses insuffisantes, et pénurie de logements pour étudiants en sont les deux causes.

Dans les pays pauvres, la situation est bien pire!

L'accès aux études primaires n'est pas toujours possible, et accéder aux études supérieures implique très souvent d'aller étudier à l'étranger.

Dans tous les cas, le fait que les études supérieures soient majoritairement réservées aux enfants de familles aisées implique qu'une minorité de familles, partout dans le monde, détiennent pratiquement tous les postes clés, et, jalouses de leurs privilèges, empêchent toute évolution de la situation.

Dans la société nouvelle, l'accès à l'enseignement est gratuit, y compris pour les études supérieures.

Dans l'enseignement supérieur, les seuls critères de sélection sont les résultats aux examens.

Plus de sélection par l'argent qui peut éliminer des éléments brillants!

Plus de numerus clausus qui conduit à la pénurie!

Et chaque étudiant aurait droit à un logement décent et gratuit.

La société nouvelle garantit l'accès de tous à tous les niveaux d'études, en fonction de leurs aptitudes.

 

 

Société nouvelle et recherche

 

La recherche, à condition qu'elle soit conduite à bon escient est source de progrès et de bien-être.

Dans les pays dits riches, les chercheurs se plaignent souvent du manque de moyens; et dans certains domaines, importants, que ce soit la lutte contre le Sida ou les maladies génétique, la recherche a besoin de la générosité publique pour compléter les fonds alloués par les gouvernements.

Dans les pays pauvres, la recherche est inexistante!

Cette situation est inadmissible!

D'abord parce que les "cerveaux" ne sont pas forcément tous issus des pays dits riches.

Ensuite, parce que cet état de chose provoque une fuite des chercheurs vers les pays qui accordent le plus de crédits à la recherche, pénalisant les pays les plus pauvres, et assurant un monopole aux pays les plus riches.

Et finalement parce que seules les recherches "rentables", y compris, et surtout dans le domaine médical, trouvent un financement.

Dans la société nouvelle, la recherche peut bénéficier dans chaque pays d'un financement illimité sans souci de rentabilité.

Les chercheurs ne sont plus obligés de s'expatrier, et ils bénéficient de structures ultra modernes, et des fonds nécessaires à leurs recherches.

Concernant les brevets d'invention:

Actuellement, à moins d'être richissime, le dépôt de brevets est réservé aux sociétés, et les particuliers n'y ont pas accès.

Quelle en est la conséquence?

Des milliers, voire des dizaines de milliers d'inventions "dorment", cachées par leurs inventeurs qui ne veulent pas les divulguer de peur de s'en voir dépossédés, et de ne pas récolter le juste fruit de leur travail.

Certaines de ces inventions peuvent présenter un intérêt immense, et malheureusement, on en est privés à cause du coût prohibitif des brevets.

Dans la société nouvelle, le dépôt de brevet international deviendrait gratuit!

Mieux! Une prime serait accordée aux inventeurs dont les inventions présenteraient un intérêt majeur évident pour l'humanité.

La société nouvelle favorise la recherche et les inventeurs, elle est source de progrès et de bien-être pour tous.

 

 

Société nouvelle et santé

 

On peut dire que le droit à l'accès à la santé est le premier droit de chaque être humain.

En effet, le premier contact de tout être humain avec le monde extérieur devrait se passer dans un milieu médicalisé prêt à parer à toute éventualité.

Malheureusement, dès ce moment là, l'absence d'égalité se manifeste déjà!

Comment peut-on oser prétendre que les hommes naissent égaux, alors même que l'égalité n'est pas assurée lors de leur venue au monde, tout comme elle n'a pas été assurée durant les 9 mois de grossesse de leur mère?

Ensuite, concernant l'accès aux soins, tout au long de la vie, l'inégalité demeure.

Même dans les pays dits riches, il est difficile, voire impossible pour certaines personnes d'accéder à des soins convenables, car non intégralement remboursés.

Dans la société nouvelle, l'accès aux soins serait partout libre et gratuit, et les soins de qualité optimale en tous les endroits de la terre.

Certes, la mise en place d'un système de santé optimal dans les pays qui en sont actuellement dépourvus prendrait un peu de temps, surtout à cause de la pénurie de personnel. Il serait obligatoire de recourir à l'assistance des organisations humanitaires et au personnel de santé des armées, mais vu que le système universitaire donnerait sa chance à chacun, et qu'aucun numerus clausus ne limiterait le nombre de personnel de santé, au bout de quelques années le retard serait rattrapé pour le plus grand bien de tous.

De plus, la recherche, comme on l'a vu, n'étant plus limitée, des maladies pour l'instant incurables pourraient probablement être traitées.

Concernant le handicap, la société nouvelle, de part le revenu minimum, assurerait un revenu aux handicapés; en outre, elle prendrait en charge intégralement toutes les dépenses dues au handicap: aménagement du lieu de vie, adaptation du véhicule, prothèses, aide et accompagnement, soutient psychologique, et offrirait des structures d'hébergement adaptées aux handicapés ne pouvant pas vivre chez eux.

La société nouvelle garantit l'accès à la santé pour tous, partout, sans exception.

 

 

Société nouvelle et diversité

 

Certaines sociétés, en particulier d'inspiration communiste, ont tenté d'instaurer l'égalité.

Presque toujours, il s'est agi d'une égalité par le bas, prônant la suppression des classes dites "bourgeoises" au profit de la classe ouvrière.

Parallèlement, s'est instaurée une classe dirigeante supérieure, bénéficiant de privilèges. Cette pseudo égalité s'est aussi, la plupart du temps, accompagnée d'une uniformisation de la société, chacun devant rentrer dans un moule idéologique et culturel.

Ces sociétés, à de très rares exceptions près, ont périclité. Il en reste très peu dans le monde, isolées, et en pleine décomposition. Il me semble que la Corée du nord soit le seul pays où "survive" une telle société.

Dans la société actuelle, il est indéniable qu'on cherche à faire entrer chacun dans un moule social; la diversité n'est pas tellement du goût de la société actuelle.

Dans la société nouvelle, régie par l'Égalité Universelle, la diversité serait la bienvenue, tant qu'elle ne trouble pas l'ordre public. Chacun aurait le droit de mener sa vie comme bon lui semblerait à condition de rester dans la légalité.

La diversité culturelle et individuelle est une richesse pour la société.

Dans la société nouvelle, égalité ne signifie pas uniformité, mais richesse de la diversité.

 

 

Société nouvelle et justice

 

L'égalité des droits auxquels les hommes peuvent légitimement prétendre concerne également le droit à une justice équitable.

Or le moins qu'on puisse dire, c'est qu'actuellement ce droit est l'un des plus bafoués au monde.

Même dans les pays prétendus démocratiques, l'accès à la justice n'est pas égal pour tous; dans certains pays existe l'aide juridictionnelle, mais tous les avocats n'acceptent pas les clients en bénéficiant, et force est de constater que dans bien des pays la justice n'est pas rendue de la même façon selon les moyens financiers, la position sociale ou l'origine ethnique.

Dans les autres pays, la justice est le plus souvent arbitraire, ou bien elle se limite à un simulacre de justice.

Dans d'autres pays, pire encore, la religion se mêle de la justice, spécialement dans certains pays islamiques, dont l'Iran est actuellement le plus abjecte représentant.

Dans ce pays, on y pend et on y lapide des jeunes filles et des femmes pour des futilités qui prêteraient à rire dans d'autres pays.

Non content de cette barbarie, ce pays n'hésite pas à monter des parodies de justice à grand spectacle pour y humilier, à grand renfort de prétendus aveux, extorqués sous la contrainte, des ressortissants de pays démocratiques.

Peut-on laisser se perpétuer des pratiques si abjectes et scandaleuses?

Dans la société nouvelle, chacun a droit à une justice équitable et gratuite!

Il va de soit que tout pays qui voudrait adhérer au système de la nouvelle société, c'est à dire en particulier pouvoir émettre des UMM, devrait s'engager à garantir la liberté et l'égalité des droits, (de tous les droits!) à ses citoyens.

Donc toute adhésion à ce système implique l'adhésion à la démocratie et implique l'instauration d'une justice équitable.

La société nouvelle, basée sur le principe de l'Égalité Universelle, ne peut pas se contenter de demi mesures; afin que le principe d'égalité soit respecté, il faudrait instaurer une uniformisation du système judiciaire au niveau mondial.

Qu'on ne dise pas que c'est impossible!

Il existe déjà le Tribunal Pénal International, dont certes les pouvoirs ne s'appliquent qu'à une catégorie limitée de crimes, mais qui prouve qu'il est possible de s'entendre sur des procédures et des peines internationalement reconnues.

L'uniformisation de la justice passe par l'adoption de deux principes essentiels:

-La présomption d'innocence.

-L'abolition de la peine de mort.

La société nouvelle dénie tout pouvoir de justice aux autorités religieuses; la justice doit être rendue selon un code pénal civil et laïc, et non selon un code religieux, la religion devant rester du domaine privé de chacun, chacun étant libre de ses convictions et de ses croyances.

La justice ne doit en aucun cas se mêler de la vie intime et privée des citoyens tant qu'elle ne porte pas atteinte à autrui, et condamner des femmes ou des hommes pour le fait d'avoir une vie sexuelle qui ne serait pas en adéquation avec des règles religieuses n'est pas admissible par la société nouvelle.

Ayatollahs et mollahs, au lieu de juger autrui, feraient mieux de se préoccuper de leur propre vie intime qui n'est probablement pas toujours des plus exemplaire, car chez eux comme chez beaucoup de personnes intolérantes, le principe "fais ce que je te dis, mais ne fais pas ce que je fais" est généralement de la règle.

Dans la société nouvelle, le respect des prisonniers est aussi la règle, et il ne serait plus possible de se retrancher derrière l'argument du manque de moyens financiers pour justifier des conditions de détention moyenâgeuses.

La société nouvelle est la garantie de l'accès pour tous à une justice équitable et humaine.

 

 

Société nouvelle et égalité femmes/hommes

 

L'égalité entre femmes et hommes est une évidence qui n'a pas à donner lieu à discussion!

Hélas, même dans les prétendus pays démocratiques, cette évidence est loin d'être la règle. Généralement, la discrimination se traduit par une inégalité des salaires, à travail égal.

Ailleurs, au pire, la discrimination se traduit par le fait que les femmes ont un statut à peu près égal à celui des animaux.

Dans un cas comme dans l'autre, c'est aussi inadmissible!

La société nouvelle reconnaît l'égalité entre femmes et hommes de leur naissance à leur mort, le mariage, le divorce ou le veuvage ne devant rien changer à cette égalité.

Les femmes ont les mêmes droits que les hommes sans que le moindre point puisse être discutable à ce sujet.

Tout pays qui contesterait si minimement que ce soit cette égalité se mettrait au ban de la société nouvelle.

La société nouvelle garantit l'égalité femmes / hommes.

 

 

Société nouvelle et égalité raciale

 

Alors que la société actuelle voudrait garantir des droits élémentaires aux grands primates en raison de leur proche parenté avec les humains, elle est totalement incapable de garantir le respect de l'égalité entre les races, et même entre les ethnies!

Au sein même de l'Europe, il n'y a pas si longtemps de cela, des conflits ethniques ont fait de nombreux morts, et l'ONU n'a pas été en mesure d'empêcher certains massacres, montrant qu'elle n'accordait pas la même protection à chacun suivant son ethnie.

L'ONU serait-elle encore capable de commettre de telles "erreurs"?

On aimerait ne pas avoir à douter de la réponse...

La haine raciale ou ethnique n'est pas innée à l'être humain, mais elle est le fruit d'une éducation ou d'une manipulation.

-Éducation quand elle est transmise de génération en génération, par préjugés, ou par mémoire de conflits passés.

-Manipulation quand elle est enseignée par les autorités ou par des groupes d'intérêt dans des buts inavouables qui sont souvent au service d'un intérêt personnel d'un chef d'état ou de guérilla, ou de l'intérêt d'un groupe religieux, ou d'un intérêt mafieux, parfois lié aux précédents intérêts.

Faire croire à une population qu'une autre population lui est inférieure ou hostile est une chose facile. C'est du conditionnement; de la manipulation.

Cependant, malgré ces manipulations, il peut s'établir des relations amicales ou amoureuses entre deux personnes quitte à transgresser des lois racistes, et ces relations peuvent parfois impliquer des personnes elles-mêmes racistes ou xénophobes, ce qui démontre bien que ces sentiments abjectes sont loin d'être innés, et qu'ils sont même contraires à la nature humaine. Et c'est quand même assez rassurant.

La société nouvelle prohibe toute ségrégation raciale, ethnique, ou religieuse.

Et, de part la libre circulation qu'elle permet, elle autorise de meilleurs contacts individuels, source d'amitié et de respect.

La société nouvelle exige que la notion d'égalité raciale, ethnique et religieuse soit enseignée dès le plus jeune âge, afin de ne laisser prise à aucune possibilité de conditionnement ultérieure.

La haine raciale naît aussi de la promiscuité avec des communautés où se développe la délinquance, cette délinquance ayant généralement pour origine un manque d'éducation, et le chômage, eux même dus à la ségrégation; donc, on le voit, un cercle vicieux difficile à briser.

Il est compréhensible que certaines personnes soient lasses d'être continuellement les victimes des méfaits de membres de certaines communautés, mais ce n'est pas une raison pour généraliser et en venir à des affrontements.

La société nouvelle, en assurant un revenu minimum à chacun, et la facilité de créer son propre emploi, réduit de façon drastique la délinquance due au chômage, ce qui implique une meilleure cohabitation entre communautés, d'où moins de haine.

La société nouvelle est la société de l'égalité et de la fraternité entre races ethnies et religions.

 

 

Société nouvelle et religions

 

Dans la société actuelle, malheureusement, les religions sont à l'origine de nombreux conflits, de nombreuses haines, et sont le soutien de régimes détestables.

En fait, plus précisément, ces calamités ont pour origines les extrémismes, les fondamentalismes, les intégrismes religieux, et non les religions en elles mêmes, qui, en règle général prônent l'amour et le respect d'autrui et non la haine.

Dans de nombreux pays, religion et politique ne font qu'un, ou bien, même si le clergé est distinct de la classe politique, il existe une religion d'état, obligatoire et liée à la citoyenneté.

Pour la société nouvelle, la liberté en matière de religion est là règle, et la religion reste du domaine de la vie spirituelle privée.

En aucun cas il ne doit exister une religion d'état, et en aucun cas la religion ne doit interférer avec la vie politique.

Chacun, dans chaque pays, doit avoir la même égalité de droits quelque soient ses convictions religieuses ou philosophiques; le respect de l'Égalité Universelle est à ce prix!

La société nouvelle garantit l'égalité et la liberté de chacun quelles que soient ses convictions et ses croyances.

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